Le décès d’un proche est souvent un événement douloureux pour la famille. Cette dernière doit surmonter le désarroi et la tristesse pour mieux organiser les obsèques. Certaines démarches devront être accomplir dans 2 ou 3 jours qui suivent le décès. Voici quelques conseils pour préparer les funérailles d’un proche.
Ce qu’on doit faire dans les 24 h après le décès
Le décès d’un proche est une période difficile et émotionnelle. Et bien que ce soit pénible, il faut prendre le temps de gérer les formalités administratives et l’organisation des obsèques. Lorsque la personne décédée est à domicile, la première chose à faire, comme le conseille le responsable des pompes funèbres Delaw : contactez rapidement une entreprise de pompes funèbres pour organiser le transport de corps vers la chambre funéraire.
Le certificat de décès doit être obtenu et les démarches administratives doivent être entreprises auprès de la mairie de la commune où le décès est survenu. Les proches du défunt doivent également s’assurer de connaître les volontés de la personne décédée concernant l’inhumation ou la crémation.
Les frais d’obsèques doivent être pris en compte et les héritiers doivent être informés des coûts associés. Si le défunt a souscrit un contrat obsèques, cela peut aider à alléger le fardeau financier pour la famille.
Si la personne décédée a exprimé le souhait de disperser ses cendres, cela doit être respecté et coordonné avec la cinéraire. Si l’inhumation est choisie, le choix d’un cimetière doit être fait.
Les soins de conservation peuvent être proposés pour préserver l’identité du défunt. La fermeture du cercueil doit être effectuée après la mise en bière, et le transport vers le lieu des obsèques doit être organisé.
Choisir la société de pompes funèbres
Pour organiser des funérailles, on passe souvent par une entreprise de pompes funèbres. La famille peut se tourner vers le prestataire de son choix. À noter qu’il existe trois types d’organismes qui doivent être habilités par la préfecture du département. Il y a les régies communales, les sociétés privées et les associations. La liste de ces prestataires s’affiche dans les mairies et les locaux d’accueil des chambres mortuaires.
On peut aussi consulter les hôpitaux, les chambres funéraires privées et les crématoriums. L’organisme établit gratuitement un devis en fonction du modèle type officiel. Ce devis doit figurer les prestations obligatoires et les facultatives ainsi que leurs prix détaillés. Il détaille le tarif des services courants tels que le cercueil et le transport. Il informe aussi sur la prestation de crémation, d’inhumation et de mise en bière. Lorsque la famille a accepté le devis, un bon de commande est mis en place.
Choisir la forme de sépulture
L’inhumation peut être effectuée dans le cimetière de la commune où la personne est décédée. Elle peut aussi avoir lieu dans la province où se trouve le caveau de famille. Une personne n’ayant aucune concession sera inhumée dans une fosse individuelle ou en terrain communal. Ces endroits sont donnés gratuitement durant au moins cinq ans. Une fois le délai expiré, la commune reprendra le terrain.
En optant pour la crémation, celle-ci nécessite une autorisation auprès de la commune. Celle-ci est le lieu où est survenu le décès. Une fois la crémation est réalisée, on peut déposer l’urne funéraire dans le caveau familial. Cela peut aussi se faire dans une case du columbarium. Les cendres peuvent être dispersées dans le jardin de souvenir ou en pleine nature. Pourtant, cette opération ne doit pas se réaliser sur la voie publique.